La vie après l’indicible, José Vatin

15,00

D’après le témoignage de Henri Benchoan

Le 6 novembre 1942, alors que la police allemande quadrille Paris, deux frères, Henri, 8 ans, Lucien, 5 ans, rasent les murs pour se protéger d’une arrestation éventuelle, après avoir réussi à s’échapper d’une rafle qui les promettait à un destin funèbre.

Les deux enfants, victimes d’une dénonciation de la concierge de leur immeuble, ont été conduits au commissariat du 20e arrondissement de Paris, en compagnie de leur mère et de leur tante. Grâce à la présence d’esprit et à l’audace de leur mère, ils peuvent s’échapper du commissariat, mais ils ne reverront plus celle-ci, car leur mère comme leur tante seront conduites en camp de concentration, où elles seront gazées. Leur tort ? Être juives.

Pour les deux enfants, c’est le début d’une longue errance dans la France de l’Occupation, errance pleine de solitude, d’incertitude et d’angoisse qui laissera les traces indélébiles de son horreur dans le cœur des garçons.

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José Vatin a mis son talent d’écrivain au service des souvenirs d’Henri Benchoan pour nous livrer ce récit sobre et infiniment touchant, d’un homme, parmi tant d’autres, victime de la barbarie humaine, mais dont le courage et la bienveillance font un exemple d’humanité accomplie.

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120 pages

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Dimensions 21 × 15 cm
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