Le temps dont on s’éprenne, Bernard Laurens-Anderson

17,00

Une écriture qui prend pour sujet le miroir de la vie de l’auteur, qui en révèle les hasards influents, un train pris, un voyage imprévu…

Une trame se met alors en place entre le présent et le passé, les passés plutôt, car il y a plusieurs images qui se superposent. Réalité, nostalgie et imaginaire se confondent au travers de photos aux visages lumineux. Autour d’un amour de jeunesse, fort mais bref, et d’une croisière entre Venise et la Grèce, d’autres souvenirs se greffent : les souvenirs d’après, après le drame qui s’est joué sur une autoroute un soir de pluie. Les relations avec les proches, le travail et le quotidien éprouvant à affronter constituent aussi le corps de ce récit.

S’il est difficile de naviguer entre tant de rivages, le quotidien banal et la part rêvée, la mémoire et l’imaginaire, il y a heureusement le plaisir d’évoquer les lieux du passé et surtout ceux aimés tendrement ou follement, le souvenir heureux de l’enfance et de la jeunesse, entre le Midi et des vacances savoyardes de rêve, quand l’auteur était entouré et aimé, donnant ainsi au texte des notes enjouées.

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Bernard Laurens-Anderson a enseigné l’histoire et le théâtre dans de grands lycées marseillais, il vit entre Marseille et la côte provençale. Il est l’auteur de nombreux romans historiques.

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144 pages

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Dimensions 21 × 15 cm
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